La kafala, qui entraîne des situations dramatiques, en particulier pour les enfants, doit être traitée dans le cadre de cette proposition de loi car, sinon, elle ne le sera jamais. J'ai déjà exprimé mon souhait que soient auditionnés les représentants des associations concernées. Je réitère ma demande, car il faut que nous trouvions un consensus pour faire évoluer les textes en vigueur.
Madame Bloch, pour le prononcé des adoptions, les pratiques sont très différentes d'un tribunal à l'autre et donnent lieu à des interprétations diverses et variées de la part des juges et des procureurs. Ne serait-il préférable que la loi soit appliquée de la même façon sur tout le territoire ?