Ceci explique peut-être cela ! (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) De toute façon, il n'était pas seul à siéger.
Le Conseil constitutionnel, dira-t-on, n'avait pas l'expérience de l'analyse des comptes de campagne. Quand on voit les manipulations auxquelles il a procédé, on peut se poser la question. Fort heureusement, on lui a ensuite retiré ce contrôle pour le confier à la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, qui dispose d'une plus grande expérience en la matière…