La presse s'en est pourtant suffisamment fait l'écho !
Au Tricastin, il s'agissait clairement d'essayer de récupérer des voix et de proposer une argumentation électoraliste, puisque, par définition, la dépense électorale cherche à recueillir des voix.
D'ailleurs, la Commission nationale des comptes de campagne souligne que, dans le cas où elle serait amenée ultérieurement à rétablir dans les comptes de campagne du Président certaines de ces dépenses à caractère électoral, elle ne prendrait pas en compte la sécurité, considérant, que, dans ce domaine, le Président de la République doit être protégé.
Je regrette que le ministre de l'intérieur ne soit pas présent et qu'il échappe systématiquement aux questions que Jean-Jacques Urvoas ou moi-même lui posons à ce sujet.