Et c'est une crise politique sans précédent à laquelle nous assistons. Il y a bien longtemps que nous n'avions vu dans cette assemblée un Premier ministre demander à une secrétaire d'État de faire des excuses publiques à ses collègues, en l'occurrence pour ne pas s'être montrée suffisamment favorable aux OGM, sous peine que toutes les conséquences en soient tirées.