Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, l'usurpation d'identité est un drame pour toutes les victimes, quelle que soit la nature précise de cette usurpation. Aussi, chacun ici reconnaît la légitimité des objectifs de la proposition de loi dont nous débattons.
Pour autant, l'enjeu de cette deuxième lecture n'est pas un simple choix technique, comme le rapporteur voudrait le faire croire.