Nous nous félicitons de la position du rapporteur, mais nous aimerions interroger de nouveau le secrétaire d'État, qui n'a pas répondu à la question que lui posait Jean-Patrick Gille.
Les services d'orientation seront-ils oui ou non soumis à la concurrence européenne ? Le terme d' « intérêt général » pourrait le laisser penser et nous souhaiterions donc savoir, monsieur le secrétaire d'État, si, dans votre esprit, comme dans celui du rapporteur, la formation et l'orientation seront bien des services publics . Pouvez-vous apaiser nos inquiétudes ?