Lorsque M. Lecoq intervient à la tribune, il nous présente les positions habituelles de sa famille politique. Nous les connaissons, nous les respectons mais nous formulons des voeux pour qu'elles ne soient jamais appliquées en France. Si tel était le cas en effet, je me demande s'il y aurait encore des entreprises françaises capables de récolter des marchés à l'extérieur.
Fort heureusement, le risque est ténu que ses préconisations se transforment en politique nationale.
Selon vous, monsieur Lecocq, cette convention ne sert à rien. Mais c'est la même que toutes les autres conventions fiscales : c'est dire que les autres ne servent à rien non plus.