Elles prendront la bonne décision, mais on ne peut me dire, comme hier, que l'État ne doit pas mettre à la charge des communes des obligations supplémentaires et, quand elles demandent de pouvoir disposer de l'argent nécessaire pour sécuriser leur police municipale, me répondre que ce n'est pas possible.
Monsieur le rapporteur général, nous sommes issus de la même région. Vous savez bien que face à la recrudescence de la violence, notamment dans certains quartiers de nos banlieues, le sujet de la protection des polices municipales se pose.