Certes, mais vous savez comme moi qu'un maire ne peut le refuser que si les règles du plan local d'urbanisme le lui permettent. Or si les nouvelles règles visent à évincer une partie de la population en favorisant une hausse exorbitante des valeurs immobilières, on voit ce qui peut en résulter.
Sans tomber dans des considérations trop locales, monsieur le rapporteur général, le paradoxe est qu'une ville comme Le Perreux mène en la matière une politique plus attentive que la ville de Montreuil aujourd'hui.
(L'amendement n° 264 n'est pas adopté.)