J'en veux pour preuve le Journal officiel du 20 octobre 2011, où il répond à notre collègue du groupe GDR, Pierre Gosnat, sur cette question du travail précaire : « Je comprends parfaitement votre idée […] mais le système que vous proposez est trop rigide. Les entreprises sont aussi diverses que les humains, et certaines d'entre elles ont des activités saisonnières. Je n'ai pas d'exemple à Ivry, mais pensez à ce qui peut se passer, par exemple à Chambéry, dans les Alpes. » Michel Bouvard précise alors : « Les remontées mécaniques, par exemple ! »