En tant que parlementaire d'un milieu plutôt urbain, je suis ravi d'entendre parler du FACÉ. Reconnaissons que le sujet de l'ancien fonds d'électrification était traité au sein d'EDF et du ministère et par quelques initiés – je salue d'ailleurs au passage les compétences de notre collègue Gaubert.
Au moins, avec la création d'un compte d'affectation spéciale, les parlementaires auraient la satisfaction de pouvoir suivre enfin l'utilisation d'une dépense qui représente près de 400 millions d'euros. Je ne partage donc pas l'inquiétude, voire la suspicion à l'encontre du Gouvernement.
Si j'ai bien compris, dans le système en vigueur depuis 1936, c'était un arrêté ministériel qui fixait le taux.