C'est sans doute le dernier collectif de la législature, du moins je l'espère.
Monsieur le président, je sollicite votre indulgence car je voudrais lancer trois messages.
Le premier porte sur ce que j'appelle la « mère » de la réforme des prélèvements obligatoires : nous devons absolument baisser le coût du travail dans notre pays. La réforme fiscale fondamentale que nous devrons maintenant entreprendre, c'est celle-là !