Monsieur le directeur, nul ne doute que le Centre de crise est aujourd'hui un organe indispensable. Ma première observation porte sur le Sahel. À la lecture du rapport sur la sécurité des Français de l'étranger, je note que le Tchad et le Burkina ne figurent ni en zone rouge ni en zone orange. Considérez-vous que ces deux pays soient exempts de tout risque ? Par ailleurs, en cas de drame humain, un assassinat par exemple, le Centre gère-t-il l'état psychologique des familles en période de post-crise ?