Je suis, à titre personnel, mon cher collègue, favorable à des discussions aussi ouvertes que possible s'agissant de l'avenir de l'agriculture. Mais le sujet a déjà été évoqué dans le débat sur la loi de modernisation de l'agriculture ; nous n'allons pas y revenir. De plus, il s'agit là d'un cavalier législatif. On est très loin de l'esprit du texte.