C'est une difficulté propre à ce type de prêts. Ainsi d'un prêt conclu en franc suisse : qui peut dire ce que sera le cours de cette devise au moment où il faudra en acheter pour rembourser le prêt ? On peut donc se demander s'il ne serait pas raisonnable, au nom de l'intérêt public, de limiter la créativité en matière de prêts ; mais c'est au législateur de le faire, non au contrôleur.