Nous avons besoin de cette sécurité. Nous ne sommes pas sûrs que les directions des administrations centrales ne rechercheront pas, comme l'expérience le montre souvent, à reprendre le pouvoir et à donner très peu de marge de manoeuvre aux ARS.
Je rappelle toujours ce principe philosophique : si vous donnez des responsabilités aux gens, vous les changez ; si vous les mettez en situation de dépendance, ils se comporteront en assistés.
Il faut absolument explorer toutes les potentialités de la loi HPST. Aujourd'hui, les ARS doutent. Je vous remercie, monsieur le ministre, de bien vouloir nous apporter des précisions dans les semaines à venir.
(Les sous-amendements nos 155 et 156 , successivement mis aux voix, ne sont pas adoptés.)
(L'amendement n° 7 est adopté.)