Je vous demanderai d'abord, monsieur Vitel, de rester calme.
Quand j'étais chef de clinique, j'ai dû un jour remplacer l'un de mes patrons, qui était malade. Il m'a dit : « Tu feras la clientèle privée à ma place cet après-midi. » Je lui ai alors demandé : « Je leur prends combien ? » Il m'a répondu : « Regarde le manteau de fourrure et la bague de la patiente. C'est en fonction de ça que tu fixeras le tarif. Si la cliente a un beau manteau et qu'elle n'a pas les moyens, tant pis pour elle ! » (Sourires.)