On constate une injustice flagrante en France : sur 800 000 naissances annuelles, moins de 200 000 donnent lieu à un dépistage. Cette situation est inadmissible, d'autant que plus le repérage est tardif, plus la perte de chance des enfants concernés d'être efficacement accompagnés est importante. Je suis heureux de constater que la commission a rétabli l'article 34 bis à l'unanimité, et je la remercie de contribuer à ce qu'il soit mis fin à une grande injustice frappant des milliers de nouveau-nés.
(L'amendement n° 79 est adopté.)