Madame la ministre, vous nous avez dit combien vous étiez satisfaite de votre politique en direction des étudiants. Certes, il y a eu des mesures que l'on ne peut que saluer ; mais pourquoi avoir été aussi performante – à vous entendre en tout cas – pour leur faire aujourd'hui ce mauvais coup ? La situation des étudiants n'est pas si brillante qu'il faille leur demander un effort supplémentaire. C'est un mauvais coup porté à leur santé. Nous sommes beaucoup à connaître le milieu étudiant et nous savons, statistiques à l'appui, que les étudiants ne se soignent pas très bien, non parce qu'ils se croient immortels mais parce que leurs dépenses de santé grèvent leur budget déjà extrêmement serré. Nombre d'étudiants le vivent ainsi.
Pour ce qui est des mutuelles, dont Yves Bur et Pierre Méhaignerie trouvent mal gérées…