Valérie Pecresse, ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'état :
C'est la preuve que l'effort demandé est équitablement réparti et soigneusement dosé. Quant à la non-revalorisation des allocations en 2010, elle s'expliquait, madame Clergeau, par la très faible inflation constatée en 2009 et 2010.