La mission d'information sur le Mediator a mis en évidence les difficultés auxquelles sont confrontés les comités régionaux de pharmacovigilance, faute de moyens humains et financiers. Afin d'y remédier, je propose de préciser que l'agence régionale de santé veille à leur bon fonctionnement. Dans certains d'entre eux, le responsable est un professeur de centre hospitalier universitaire (CHU) à temps partiel qui n'a qu'un poste ou un demi-poste de salarié pour s'en occuper !