Monsieur le président, mes chers collègues, je regrette d'autant plus l'absence de nos collègues socialistes qu'elle est la conséquence d'une situation qu'ils ont eux-mêmes créée de manière tout à fait artificielle, en multipliant des manoeuvres d'obstruction d'une ampleur sans précédent sous la Ve République. (« C'est vrai ! » sur les bancs du groupe UMP.) On ne peut pas à la fois mettre le feu et regretter l'incendie. (Protestations sur les bancs du groupe GDR.)