Mais, au-delà de son coût, il pose la question de l'articulation avec la protection judiciaire de la jeunesse.
Bien évidemment, il est toujours facile à un orateur de l'opposition de se scandaliser en disant qu'il est extravagant de créer ce type de dispositif quand, dans le même temps, le budget pour 2012 supprime 106 postes. Vous allez me dire, monsieur le ministre – j'anticipe votre objection – qu'il s'agit non pas de postes d'éducateurs, mais de soutien et qu'il est donc inutile de gloser sur le sujet.