Je pense faire inclure notre programme dans Sophia, premier projet très important de la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés dans le registre des « services en santé ». À ce jour, ce sont en effet presque deux cent cinquante infirmières salariées de l'assurance-maladie qui y contribuent et l'on ne peut accroître indéfiniment leur nombre – non seulement il faut les trouver mais il faut les payer. Les ateliers ou bien le système d'assistant virtuel me semblent constituer un bon échelon intermédiaire. Sans eux, l'offre de l'assurance-maladie serait incomplète.