La commission de coordination fonctionne depuis peu. Les acteurs s'y investissent de façon très différente, que ce soit au niveau de la participation ou du niveau de leur représentation. Nous avons donc besoin, aussi, de relations plus étroites avec certains partenaires, afin d'engager avec eux des actions spécifiques. L'entreprise n'est pas toujours aisée, car il en est qui sont soumis à une forte logique nationale. C'est le cas de l'assurance maladie, par exemple, mais nous ne pouvons nous contenter de la seule relation au sein de la commission de coordination. Avec les collectivités locales, la difficulté est autre : nous devons tenir compte à la fois de leur diversité et de l'enchevêtrement des compétences.
Il y a là un travail à mener de toute nécessité, sachant qu'il faut du temps pour conquérir sa légitimité.