En région Provence-Alpes-Côte d'Azur, l'association ARCADES a fait la promotion de ce dépistage à titre expérimental, mais les taux de participation se sont révélés extrêmement faibles, passant de 2 % à 6 % de la population féminine seulement. Plus récemment, le professeur Lucien Piana a insisté en faveur d'un autre mode de dépistage, à savoir l'auto-prélèvement du papillomavirus. Depuis, les taux de participation auraient nettement augmenté.