Aux termes de la loi, les pharmaciens peuvent avoir un rôle d'accompagnement pour certaines situations. Ils sont d'ailleurs très désireux de développer des actions, et ce d'autant plus qu'un certain nombre d'entre eux ont des difficultés à maintenir leur chiffre d'affaires.
Ces actions – dont les modalités devraient probablement s'inscrire dans une logique de forfait – nécessitent un accord de l'agence régionale de santé et, plus largement, un accord entre les autres professions de santé, en particulier avec les médecins généralistes. Or, en Pays de la Loire par exemple, cet accord entre professionnels n'est pas acquis.