J'ai parlé tout à l'heure de culture commune. Le choix que nous avons fait, notamment vis-à-vis de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé qui nous a demandé des rapprochements avec les têtes de réseau et les réseaux eux-mêmes, est de constituer des groupes techniques communs et d'organiser des partages de méthodes. Autrement dit, nous avons pris le parti, non pas de la concurrence, mais d'un enrichissement mutuel. Pour l'instant, c'est ainsi que nous procédons en Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Certes, nous pourrions nous sentir concurrents des têtes de réseau, et même de la Mutualité française, mais les besoins sont tels qu'il est difficile de l'être. Le vrai problème est plutôt celui de l'insuffisance des moyens.