Vous pouvez dire ce que vous voulez, le texte l'interdit clairement. D'autre part, les permis qui ont été octroyés seront abrogés dès lors qu'ils reposeraient sur la fracturation hydraulique. On peut dire ce qu'on veut – y compris à l'Assemblée nationale, semble-t-il – mais le texte est très clair : il n'y aura pas de fracturation hydraulique sur notre territoire.