Je voudrais remercier Noël Mamère pour le ton modéré, mesuré – j'allais dire amical – sur lequel il a évoqué les réticences que lui inspire le texte. Il a commencé – assez bien, me semble-t-il – en évoquant le principe de précaution : celui-ci ne s'applique pas qu'au maïs transgénique, il doit aussi s'appliquer à l'homme et à l'enfant à naître. Je suis, comme lui, méfiant vis-à-vis de la dérive prométhéenne qu'il décrit et du « transhumain » ; la perfection est totalitaire. M. Mamère est imparfait…