Vous savez, madame la présidente, dans quelle estime personnelle je vous tiens puisque nous siégeons dans la même commission. Permettez-moi, à cet instant du débat, de vous dire ce que je pense de vos commentaires à l'égard de notre collègue Roy, lequel a, en tout état de cause, fait preuve d'une extrême rigueur dans son intervention et de sérieux dans son argumentation. Il a été effectivement chahuté par nos collègues, ce qui, j'en conviens avec vous, arrive à d'autres sur ces bancs. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Toutefois, je ne crois pas, permettez-moi de vous le dire, que la présidence puisse affirmer qu'il le méritait bien et que, finalement, les représailles organisées ici étaient légitimes.