En premier lieu, tous ceux qui, ici, croient en l'Europe et en sa capacité à s'organiser, peuvent être satisfaits des négociations.
Ensuite, ces négociations ne sont qu'une première étape ; les suivantes dépendent en partie de nous, qu'il s'agisse de notre compétitivité ou de la réduction de notre dette. Elles dépendent surtout de la confiance et de l'optimisme de notre pays, et il serait bon d'éviter le catastrophisme permanent, alors que nous avons les dépenses sociales les plus élevées d'Europe ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Je voudrais donc que nous respections cet accord et les exigences de demain. J'ajoute qu'au cours du premier semestre nous avions des taux de croissance élevés.