Par ailleurs, il ne faudrait pas se montrer excessif en prédisant des pertes de recettes : je rappelle qu'un point de croissance se traduit par deux milliards de plus ou de moins – et non quatre ou cinq – pour les finances sociales. Dans mon rapport, j'ai en effet indiqué que, si la croissance ne devait pas excéder 1 %, c'est bien 1,5 milliard d'euros que nous devrions trouver, en réduisant les dépenses ou en augmentant les recettes.