Monsieur le ministre, le G20 de la semaine dernière à Cannes a permis d'avancer sur un sujet crucial : celui de la dimension sociale de la mondialisation.
Les questions sociales sont, en effet, au coeur des défis auxquels nos pays doivent faire face. La crise a provoqué des effets dévastateurs sur nos marchés du travail et aucun pays d'ailleurs n'a été épargné. Elle a, une nouvelle fois, montré que la mondialisation, si elle n'est pas équilibrée, ne peut être viable.
Face à cette crise qui a ébranlé nos sociétés, les bonnes intentions ne suffisent plus, il faut maintenant passer à l'action. Il nous faut replacer l'être humain au coeur des préoccupations. (« Oh ! » sur les bancs du groupe SRC.)