C'est la raison pour laquelle, après négociation, nous avons maintenu le principe d'une implication volontaire du secteur privé. Les établissements financiers européens ont accepté une décote de 50 % de leurs positions sur la Grèce. La nature volontaire de cette décote a permis d'éviter le défaut sélectif, et surtout, ce que la France voulait éviter par-dessus tout, la qualification d'événement de crédit qui aurait signifié la faillite de la Grèce, le risque de contagion, et par effet domino, une grande instabilité pour notre monnaie.
Des modalités de soutien et d'accompagnement ont également été contractualisées avec la Grèce.