Il ressort de votre présentation que, dans vingt cinq ans, la part des énergies traditionnelles, pétrole, gaz naturel et charbon, demeurera globalement équivalente à la situation actuelle, à hauteur de 80 % de la fourniture d'énergie primaire, laquelle aura dans le même temps augmentée de 36 %. Vous nous avez également indiqué que l'énergie nucléaire augmentera également en proportion, ce qui laisse peu de place pour les énergies renouvelables dans ce schéma. Ces énergies dites du futur, comme l'hydrogène, les énergies marines ou solaires, sont-elles par conséquent déjà compromises ? L'amélioration de l'efficacité énergétique de la biomasse est-elle considérée comme difficilement réalisable ?