Selon moi, le système d'assurance ne peut pas être uniquement de nature privée : une prise en charge publique s'impose.
La France n'est pas le seul pays européen à disposer d'un important massif forestier ; j'ai donc suggéré au Gouvernement de profiter de la réforme de la politique agricole commune pour ajouter une contribution budgétaire européenne à la contribution des entreprises privées.
Il faut trouver une solution, faute d'assister à la fin des forêts cultivées.