Ce ne sont pas non plus les planteurs de Marie-Galante qui, comme soeur Anne, désespèrent – en l'occurrence de l'intervention de l'État, pour sauver la filière de la canne, du sucre et du rhum qui, faute d'action étatique, transformera Marie-Galante en un musée de la canne. Et je ne parle même pas de la situation sanitaire de Marie-Galante, qui est telle qu'il y a un accès aux soins à deux vitesses dans l'archipel guadeloupéen, qui est pourtant dans la République française.
Madame la ministre – et, au-delà de vous, je m'adresse au Gouvernement –, nous l'avons compris : pour plagier le vieil adage, quand il y a le feu au château on ne se préoccupe guère des écuries. Les outre-mer, qui, selon tous les candidats déclarés à l'élection présidentielle, sont une chance pour la France,…