Entre la rigueur financière et le soutien économique, l'équilibre est toujours difficile. Mon sentiment est que vous avez ce qu'il fallait pour le prouver et je voudrais, madame la ministre, vous en féliciter.
Qu'il me soit permis de compléter ce satisfecit par deux recommandations.
La première concerne Mayotte. De grâce, veillons à ce que l'extension progressive des règles et par conséquent des charges de la départementalisation n'ait pas pour effet de décourager l'initiative privée. La solidarité publique est bien sûr nécessaire, mais le dynamisme privé aussi, car c'est lui qui crée les richesses…