Je vais répondre également au nom de M. de Raincourt.
Monsieur Emmanuelli, sans crier victoire, nous avons constaté une véritable évolution dans cette affaire de taxation des transactions financières. Elle est due en grande partie à la crise économique et au besoin de développement, comme l'a dit tout à l'heure Henri de Raincourt. Elle est due également, pour une large part, à l'activisme de notre diplomatie et du Président de la République. Ne pas le reconnaître ne serait pas conforme à la réalité.