…le déficit budgétaire étant, pour les deux tiers, dû à des cadeaux fiscaux inconsidérés. Certes, il est plus facile d'aller chercher des responsables en 1982 ou en 1998, mais c'est sur votre bilan que les Français vous jugeront, sur le bilan des politiques de l'emploi, notamment l'emploi des jeunes, qui constitue pour nous, avec l'éducation, le socle des politiques que nous allons prochainement proposer aux Français. Contrairement à vous, nous considérons que l'éducation n'est pas une charge, mais un investissement. Nous ne sommes pas gênés pour l'affirmer haut et fort, madame la ministre, et pour donner à nos ambitions les moyens qu'elles méritent ! (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)