Au fond, on en vient à soutenir des associations dont la stratégie est en réalité très défavorable à la biodiversité, si nous entendons celle-ci en termes de régulation.
Par contre, si l'on considère que défendre la biodiversité consiste à penser qu'un certain nombre d'espèces ne doivent pas être régulées, avec les préjudices que cela suppose à l'encontre d'autres formes de vie dans la nature – je pense toujours aux cormorans et aux loups –, on peut juger que l'action des associations est inattaquable.
Il y a là un sujet de fond ; le débat sur les subventions est aussi une manière de l'aborder.