Monsieur le ministre, nous savons que la situation financière de la France est difficile. Mais pour réduire l'ampleur des déficits publics, vous sacrifiez votre politique de l'environnement. La France n'applique d'ailleurs même pas les directives européennes, et le nombre de contentieux reste significatif, notamment dans les domaines de l'eau, des déchets et de la biodiversité, ce qui vous a obligé à inscrire des provisions pour faire face aux risques financiers.