En tout cas, son silence assourdissant est éloquent.
Nous nous trouvons face à une situation unique dans l'histoire de la Ve République : un sénateur, président d'un conseil général, mis en examen pour complicité d'obstacle à la manifestation de la vérité, trafic d'influence, prise illégale d'intérêts et association de malfaiteurs, a décidé de rester en fonction, se cachant derrière la présomption d'innocence et en menaçant son propre parti.