Madame la députée, vous avez raison : grâce à ces territoires d'outre-mer, la mer et les ressources halieutiques sont potentiellement une extraordinaire richesse pour la France – pas seulement du point de vue pécuniaire, mais aussi de celui de la biodiversité et le développement durable.
Nous avons vécu deux moments forts. D'abord, un Grenelle de la mer est venu s'ajouter à tout l'effort de recherche traditionnelle et a permis à la France de mieux prendre conscience de ses recherches en terme d'exploration et de ressources halieutiques. Ensuite, certaines universités, notamment celle de La Rochelle, se sont positionnées de façon extrêmement intéressante sur ces questions de recherche autour des métiers de la mer et des ressources halieutiques.
Ces points d'appui et de partenariat peuvent être intéressants et peuvent nous permettre, y compris à Saint-Pierre-et-Miquelon, d'avoir les déclinaisons que vous appelez, à juste titre, de vos voeux.