Avec de tels crédits, l'État ne se ruinera pas. Je donne donc un avis favorable dans le contexte que nous connaissons et compte tenu des observations que j'ai formulées.
Je note toutefois que, contrairement à son prédécesseur Hervé Novelli – dont le parcours a été remarquable –, son successeur ne s'implique guère dans la politique du tourisme. Outre que le coup de rabot de 5 % aurait sans doute pu s'appliquer à d'autres budgets, il n'est désormais plus possible d'aller au-delà, tant en ce qui concerne les ressources humaines que la promotion de ce secteur.