Je suis certaine que M. le ministre va retrouver l'usage de la parole au sujet de l'article 35. J'en profite pour lui rappeler que nous attendons toujours des réponses de sa part aux questions que nous lui avons posées – et s'il voulait bien nous les donner, nous lui en serions extrêmement reconnaissants. M. Bertrand n'est pas réputé avoir sa langue dans la poche…