Je propose un moyen de financement indirect qui ne mettrait pas en péril le secteur des jeux, par ailleurs très complexe et déjà très taxé, qui ne pénaliserait que les bénéficiaires et ne coûterait rien à l'État, rien au contribuable. Il y aurait seulement un petit manque à gagner pour les joueurs, si l'on songe qu'une personne a récemment gagné plus de 160 millions d'euros. Compte tenu de l'ampleur des gains, la taxation que je propose rapporterait plusieurs millions d'euros qui seraient reversés au bénéfice de cette cause éminemment noble.
On pourrait parler d'occasion ratée si l'Assemblée rejetait cet amendement.
(L'amendement n° 331 n'est pas adopté.)
(L'amendement n° 333 n'est pas adopté.)