Cela prouve que les systèmes légaux que nous avons mis en place n'encouragent pas l'addiction aux jeux. Au contraire, ils la freinent.
Aujourd'hui, 1,3 % de la population adulte française a des comportements à risques vis-à-vis du jeu et seulement 0,4 % est considéré comme en addiction. C'est toujours trop, mais c'est deux fois moins que les pays qui nous entourent.
Pour cette raison, je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'augmenter la fiscalité sur les jeux.
J'ajoute que la situation économique des casinos, en particulier en province et dans les petites stations touristiques, n'est pas florissante. Aussi n'est-il pas souhaitable d'augmenter leur pression fiscale.
Je suis donc défavorable à ces amendements.