On déplore souvent le faible nombre de PME françaises présentes à l'international, mais comment traitez-vous, Monsieur le ministre, le problème de la sécurisation des paiements à l'étranger, un problème vital pour ces entreprises ? En Gironde, de petites entreprises viticoles sont parfois amenées à freiner l'avancée de certains projets car la sécurité des paiements est insuffisante, car elles ont 15 000 voire 20 000 euros de paiements en souffrance.
Ensuite, je me demande pourquoi il n'est pas prévu un accompagnement rapide des « start-up » à l'international ? Ces entreprises, qui ont besoin, dès l'origine, de se développer hors de nos frontières, se heurtent bien trop souvent à des problèmes de financement.
Par ailleurs, beaucoup de PME rencontrent des problèmes linguistiques de même que le recrutement de jeunes diplômés avec une expérience à l'international. Comment traitez-vous ces problématiques dans le cadre de votre ministère ?